Sur les réseaux sociaux professionnels comme Linkedin, tout le monde a déjà lu des offres d’emploi promettant un cadre de travail « bienveillant », où chacun peut s’épanouir au sein d’une entreprise « engagée » et « inclusive ».
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Vous travaillez à l’université et vous avez omis de rédiger vos documents en écriture inclusive ? Reprenez tout du début et suivez bien le guide.
Vous êtes artiste dans une entreprise de jeux vidéo et vous voulez dessiner un personnage noir avec des dreadlocks ? C’est un cliché raciste.
La diversité rapporte-t-elle de l’argent ? Assure-t-elle le succès d’une entreprise ? Pour les wokes, c’est oui. Mais tout argument est bon à prendre pour justifier le recrutement au faciès et favoriser les femmes à des postes de direction.
Vendre woke ne fonctionne pas toujours et le pouvoir de nuisance des militants qui pratiquent le boycott force la main de bien des entreprises qui se prétendent dotées de valeurs.
Dans le monde idéal fantasmé par les wokes sur nos écrans, l’une des plus célèbres reines d’Angleterre peut être noire mais Moïse ne peut pas être blanc ; les hommes sont inutiles et les femmes devraient vivre loin d’eux, voire se tourner vers le lesbianisme.
Bienvenue dans la quatrième dimension non-genrée, misandre et racialiste !
La BNP Paribas fait dans la démagogie avec une carte de crédit non-genrée aux couleurs de l’arc-en-ciel quand la Société générale interdit à ses employés d’être en désaccord avec les revendications LGBT. Et si vous êtes un peu trop à droite à leur goût, elles n’hésiteront pas à aller jusqu’à fermer vos comptes personnels…
Zoom sur cette Inquisition bancaire au service de l’Église woke.
Si vous faîtes partie de ceux qui respirent mieux sur X depuis le rachat de Twitter par Elon Musk, vous ne serez pas étonné d’apprendre que la plateforme avait élaboré un système de réduction de la visibilité des comptes de droite. C’est ce que révèlent les « Twitter files »…
Anatomie des deux plus grandes fabriques d’opinion sur internet.
Si vous avez entendu parler du Lupron, vous savez peut-être qu’il s’agit d’un bloqueur de puberté utilisé sur les enfants diagnostiqués transgenres. Le laboratoire pharmaceutique AbbVie, premier vendeur du Lupron dans le monde, en fait activement la promotion en finançant et en s’associant avec des organisations LGBT.
Focus sur ce big pharma qui encourage la fabrique de l’enfant transgenre afin de se faire toujours plus d’argent…