FEMELLISTE vous informe.
FEMELLISTE propose une sélection d’articles pour aiguiser votre pensée au sujet du transgenrisme et du wokisme.
Madeleine Pelletier (1874-1939) : pionnière de la lutte contre les stéréotypes de genre.
Madeleine Pelletier brise les codes. On sent qu’elle est différente et qu’elle ne cherche pas à plaire. Au début du 20e siècle, elle ose être elle-même et se bat pour arracher sa place dans un monde d’hommes. Aujourd’hui, elle subit le même phénomène de révisionnisme historique que Jeanne D’arc : parce qu’elle a refusé d’adopter le vestiaire féminin, Madeleine Pelletier est parfois qualifiée de “trans” par certaines personnes qui n’ont apparemment pas compris le sens de sa démarche. Portrait d’une femme exceptionnelle.
Royaume-Uni : quelles sont les raisons de l’augmentation des statistiques de la pédocriminalité féminine ?
L’idéologie trans est une idéologie de l’auto-détermination : ainsi, chaque homme qui se déclare femme est considéré comme telle et vice versa. L’un de ses effets pervers et donc que les statistiques concernant la répartition des tâches domestiques, l’inégalité salariale, la répartition du temps de parole femmes/ hommes dans les médias, mais aussi la criminalité peuvent se retrouver faussées.
Ces pédocriminels qui portent des perruques dans le but de se faire passer pour des femmes.
C’est l’un des dangers de l’idéologie de l’auto-détermination : si n’importe quelle personne qui se déclare femme en est une, alors des agresseurs peuvent en profiter pour accéder à des espaces non-mixtes. Ainsi, certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), tentent de se faire passer pour des femmes et sont souvent incarcérés dans des prisons pour femmes.
Ces pédocriminels qui se déclarent femmes sans même essayer de nous dupper avec des perruques et du make-up.
Certains pédocriminels transidentifiés (dits “femmes trans”), déclarent être des femmes sans même faire l’effort de mettre une perruque ou du rouge à lèvre pour tenter de nous duper au sujet de leur soit disant “dysphorie de genre”.
Les pronoms transgenres : un délire mégalomaniaque.
Peut-être l’avez vous remarqué : depuis quelques temps Instagram et Linkedin vous suggèrent d’ajouter “vos pronoms”. Selon les transgenristes demander les pronoms d’une personne est obligatoire, faisant de vous une personne “transphobe” si vous refusez. Portrait d’une injonction mégalo signé Anissia Docaigne-Makhrova.
D'où vient le terme femelliste ?
Les termes “Femelliste”, “Femellisme”, ou “Femellité” ne sont pas nouveaux. Ils sont employés depuis plusieurs années par différentes personnes et collectifs. Nous ne revendiquons donc pas la maternité de ce terme. Cependant, nous pensons que si plusieurs femmes autour du monde ont commencé à l’utiliser, c’est que sa fonction est de plus en plus nécéssaire.
Qu’est-ce qu’une “TERF” ?
L’acronyme “TERF” signifie “Trans Exclusionary Radical Feminists” (littéralement “Féministes Radicales qui Excluent les personnes Trans”.) Il est utilisé par les transgenristes pour désigner les féministes critiques du genre qui ne se reconnaissent globalement pas dans ce terme. Définition.
Le féminisme critique du genre, c’est quoi ?
Elles sont accusées de transphobie parce qu’elles osent s’opposer à l’idéologie transgenre (transgenrisme). On les nomme “féministes universalistes”, “féministes radicales”, “radfem”, “gender critical” ou encore “TERF” : que prônent réellement les féministes critiques du genre ?
La photo d’un homme transidentifié avec un nourrisson aux bras et simulant l’allaitement provoque un tollé
Le magazine argentin Ñ a publié une couverture extrêmement dérangeante pour son numéro du 8 Octobre 2022. On peut y voir un homme transidentifié tenant un nourrisson dans ses bras, et faisant mine de l’allaiter.
En quoi le transgenrisme est-il une forme d’homophobie ?
L’idéologie transgenre (ou transgenrisme) se présente comme une forme d’avant-garde alliant progrès social et technique. Pourtant, derrière ce beau costume, se cache une nouvelle forme d’homophobie particulièrement dangereuse pour les droits des lesbiennes. Explications.
Des cliniques privées font la promotion des transitions de genre sur les réseaux sociaux
Le bien-être et le développement des enfants est menacé par le transgenrisme. Focus sur un phénomène inquiétant : quand des cliniques privées font les promotion des transitions de genre sur les réseaux sociaux.
Quelle est la différence entre le sexe et le genre ?
Actuellement, dans les milieux militants, universitaires, médiatiques ou politiques, certaines personnes nient la réalité de la sexuation, allant jusqu’à déclarer que le sexe “n’existe” pas, qu’il est “assigné à la naissance”, ou qu’un “pénis de femme” est une réalité. Le genre est brandit comme seul outil de différenciation entre femmes et hommes tandis que le sexe est rejeté comme critère valable pour définir un individu. Mise au point.
Pourquoi des féministes militent-elles pour que les femmes trans ne puissent pas participer aux compétitions sportives féminines ?
Femmes et hommes n’ont pas les mêmes capacités physiques. Pourtant, des hommes qui se déclarent femmes (femmes trans) s’invitent désormais régulièrement sur les podiums féminins. Focus sur cet entrisme du transgenrisme dans les compétitions sportives des femmes qui révolte les féministes.
Quelle est la différence entre homosexualité et transidentité ?
Actuellement, une confusion règne entre homosexualité et transidentité ; les deux sont souvent associés. Pourtant la première est une orientation sexuelle, alors que la deuxième concerne la construction identitaire, la définition de soi. Détricottons cela ensemble.
Quelles sont les différences physiques entre femmes et hommes ?
Chez l’être humain, le dimorphisme sexuel (c’est-à-dire les différences entre les individus de sexe féminin et les individus de sexe masculin) est faible par rapport à d’autres espèces du règne animal, mais reste tout de même non négligeable. Retour à vos cours de SVT.
"Mme Élisabeth Borne, féministes, nous inquiétons de ce que devient le Planning familial"
“Une campagne de communication du Planning familial montrant un “homme enceint” a généré de nombreuses réactions. Dans une lettre ouverte adressée à Élisabeth Borne, Marguerite Stern et Dora Moutot analysent la dérive idéologique de l’association.”