Le harcèlement que subit Dora Moutot

 

Avant de vous raconter l’histoire de mon harcèlement, j’aimerais commencer par cette phrase de Eleanor Roosevelt : “Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent des événements ; les petits esprits discutent des gens.” Je crois sincèrement à la liberté d’expression et je suis à 100% pour que les gens puissent critiquer mes idées, argumenter et débattre.

“Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous puissiez le dire” aurait dit Voltaire. Et je le rejoins sur ce point.

Seulement, il y a une différence entre critiquer une idée, une façon de concevoir le monde et harceler et s’acharner sur quelqu’un. Les personnes qui m’attaquent et diffament sont rarement capables détailler pourquoi j’aurais tort. Ils se contentent de me traiter de tous les noms, de me trouver toutes les tares de la planète, de m’insulter, et de faire sans cesse des raccourcis fallacieux et malhonnêtes pour me discréditer avec la volonté malveillante de me “cancel”.


Quand j’ai commencé à être harcelée, cela faisait un an que j’avais lancé le compte instagram @Tasjoui.

@Tasjoui est un compte Instagram qui traite de la sexualité des femmes hétérosexuelles et de ses problématiques sous le prisme du féminisme. Compte pionnier du sexo-féminisme sur Instagram dans la francophonie, mon compte a connu un véritable succès et a très rapidement été suivi par plus d’un demi-million de personnes.

Nouveauté dans l’univers médiatique féministe, les médias titraient: “Le phénomène T’as Joui” ou encore “Le raz-de-marrée T’as Joui” pour parler de l’engouement autour du compte.

Tout allait très bien.
Jusqu’à ce que des transgenristes commencent à m’attaquer…


 

Au commencement de mon harcèlement : LE COMPTE “AGRESSIVELY TRANS”

C’est en 2019, dans le contexte de mon travail autour de mon compte @tasjoui, lorsque je participais à une campagne pour visibiliser l’organe clitoris organisée par Gang du clito intitulée “It’s not a bretzel, que le harcèlement à mon égard commença.

Campagne It’s not a bretzel

Le compte “Agressively Trans” tenu par un mâle transféminin qui se fait appeler “Lexie”, fit une story appelée “Dora la Terf” qui resta des années à la une de sa page Instagram (avant d’être retirée à la sortie de son livre). Il fit une autre story intitulée “Bretzel” pour dénoncer la campagne de visibilisation du clitoris.

Dans ces storys, Agressively Trans dénonçait la soit-disant “transphobie” de cette campagne ainsi que ma “transphobie”.

Selon cet individu, militer pour une plus grande plus visibilité, connaissance et éducation autour de l’organe clitoris, ainsi que tout le contenu de mon compte @tasjoui serait “essentialisant”, “LGBTphobe”,“transphobe” et “non inclusif”.

Story “Bretzel” de Agressively Trans

Story “Dora la Terf” sur le compte de Agressively Trans

Agressively Trans s’est mis à m’écrire des messages en privé en me critiquant et en m’expliquant que “c’était triste de systématiquement tout limiter au personnes cisgenres”.

Fatiguée d’avoir de multiples inconnus qui se permettaient constamment de me dire ce dont je devrais parler sur un ton déplacé, j’ai répondu sèchement à son message. Ma réponse était la suivante :

- Mon compte est un compte héterosexuel. C’est mon angle. T’es pas content, c’est pareil. Compris? ”.

Story “Dora la terf” de Agressively Trans


À l’époque, je n’avais absolument aucune idée de si “Agressively Trans” se genrait en homme ou en femme, son pseudonyme et son avatar ne donnant pas d’indication. Je ne peux évidemment pas m’intéresser à l’identité de chaque personne qui m’écrit. Je reçois des centaines de messages par jour, j’ai des milliers de followers. A l’époque, contrairement à aujourd’hui, je n’avais aucun parti-pris sur l’utilisation des pronoms.

Mais Agressively Trans en profita pour crier à la transphobie m’accusant en story de le “mégenrer” (j’aurais apparemment du dire “t’es pas contente, au lieu de dire "t’es pas content") en partageant un screenshot de nos échanges.

Il en profita pour tweeter “Dora Moutot et sa transphobie ne représente ni le féminisme ni la décence humaine la plus élémentaire”.

J’ai immédiatement bloqué cette personne.

Tweet, meme “Mora Doutot” et story “Dora 3” de Agressively Trans

Pourtant, jusqu’à aujourd’hui, Agressively Trans continue de me harceler.

Cette personne est soutenue par certaines figures médiatiques telles que Rokhaya Diallo ou Lauren Bastide et est souvent invitée dans les médias.

Tout le monde ferme les yeux sur le harcèlement de cette personne envers de nombreuses femmes : moi, Marguerite Stern, Julia Pietri ou encore Antastesia etc.

Story “Maggie la vilaine” sur Marguerite Stern / Story Antastesia Terf de Agressively Trans

Agressively Trans me harcèle de façon obsessionnelle sur les réseaux depuis des années. Cette personne qui était alors peu visible au début du harcèlement à mon égard, a utilisé une stratégie connue pour gagner de l’audience : taper sur quelqu’un de visible, attiser la haine à mon égard, déshumaniser autrui, pour s’attirer la lumière.

Me prenant pour son bouc-émissaire, Agressively Trans a fait des stories à la une (stories restant fixe sur son profil, les stories classiques disparaissant au bout de 24h) à répétition (“Dora la terf”, “Dora 2”, “Dora 3”, “Moutot”), me harcelant à travers des tweets, des memes, m’inventant des petits noms (Mora Douto, Dorat Moutot, D.M), organisant des lives à mon sujet, racontant publiquement que je suis proche “des néo-nazis”, déformant tout mes propos, et incitant son audience à me harceler à son tour en jouant entre autre à des petits jeux de devinettes.


Un harcèlement boule de neige

Le harcèlement de Agressively Trans à mon encontre a fait office de boule de neige et a influencé de très nombreuses personnes à me harceler à leur tour, imitant les formats que celui-ci avait lancé.

Les storys à la une “Dora la terf” furent imitées par de nombreuses personnes.
Une fausse réputation de “transphobe” fut construite à partir de ce premier harcèlement.

Story à la une harcelante et diffamante à mon égard sur le modèle de Agressively Trans

Par effet de suivisme, c’est devenu une forme de marque d’intégration dans la communauté “queer” et du “féminisme intersectionnel” que de produire des contenus harcelants à mon encontre ou à l’encontre de Marguerite Stern, d’inviter les gens à “unfollow @tasjoui” sous peine d’être taxé à leur tour de “transphobie”. Voir la page qui détaille les différentes techniques de harcèlements.

Des comptes très suivis ont activement participé à la diffamation envers moi, ont amplifié mon harcèlement et ont joué le jeu de la cancel culture. C’est le cas de :

“Le coin des LGBT”, Amal Tahir du compte “Inside Women”, Coline Charpentier du compte “T’as pensé à”, Léane Alestra de “Mécréantes”, Sabrina Erin Gin de “Olympe Reve”, Camille Giry et Justine Lossa de “Justine et Camille”, Rose Lamy de “Préparez vous pour la Bagarre”, Léa Toussain de “Merci Beaucul”, Charline Vermont de “Orgasme et moi”, Aliona de “La prédiction”, Masha de “Masha Sexplique”, Elvire Duvelle Charles de “Clit Révolution”, l’autrice Morgane Ortin de “Amours Solitaires”, le photographe transféminin “Olivia Ciappa”, le tiktokeur transféminin “Ljpizza1”, l’instagrammeuse transmasculine Jacob-Elijah “Transnoir”, le youtubeur transféminin “Vénus”, l’instagrammeur transmasculin “Loulou Parfois”, l’instagrammeur transmasculin “Mickargrd”, Constance Lefebre du twitter “Question Trans et Féministe”, la danseuse “Habibitch”, la journaliste transmasculine de Tétu “Hali Bottom”, l’illustratice Penélope Bagieux, la militante anti-grossophobie “Daria Marx”, la journaliste d’Arret sur Images Pauline Block, la journaliste Laurène Bastide, la journaliste de Binge Audio Victoire Tuaillon, la journaliste de Madmoizelle Maèlle Lecore, la Youtubeuse Carolina Gonzales de “La Carologie”, la make-up artist Fanny Maurer, l’actrice porno Nikita Belluci, l’autrice Marie Peltier, l’autrice Valérie Rey-Robert, l’autrice Mona Chollet, et bien d’autres…

Des milliers de petits comptes inspirés par ces influenceurs m’ont à leur tour harcelé, diffamé, insulté.

À tel point, que dans la rue, dans des manifestations ou des soirées, mon nom est désormais affiché pour me vilipender.

Graffiti “Dora Mouto Danger public” à Paris Belleville / Soirée à la Mutinerie ou “Hali Bottom” fait mine de me taper dans son spectacle sur le ring / Manifestation féministe avec une pancarte “ - de Dora Moutot", + de mascottes clito”.


Ce qu’on me reprochE

Quand Agressively Trans a commencé à me harceler, je ne connaissais absolument rien au sujet “trans”.

Je n’avais pas d’a priori négatif sur cette communauté. J’avais même un a priori positif, car à travers mon ancien blog “La gazette du mauvais goût” qui traitait des esthétismes kitsch, j’appréciais particulièrement certains artistes de la scène queer, comme John Waters.

Seulement l’angle de mon compte @tasjoui était l’hétérosexualité féminine et le patriarcat, et la transidentité ne faisait tout simplement pas partie de mon angle éditorial.

J’ai appris la signification du terme “TERF” après une recherche Google le jour ou Agressively Trans m’a qualifié comme telle.

Ce sont les conséquences du harcèlement de Agressively Trans, la violence inouïe de la communauté trans à mon égard lorsque je n’avais encore rien dit et rien compris sur le sujet, leur volonté de me “cancel”, de faire en sorte que je ne puisse plus parler du corps des femmes librement, de me nuire, leurs menaces constantes, qui m’a fait réaliser qu’il y avait un sujet à creuser et que quelque chose ne tournait pas rond…

J’ai fait ce qu’on appelle un “Peak trans” dans le monde anglo-saxon.

C’est à cause du harcèlement vécu que j’ai commencé à m’intéresser à l’idéologie transgenre et à ses conséquences sur les femmes.

C’est ainsi que j’ai commencé à parler du sujet et que j’ai été contacté par des femmes qui m’ont invité à signer certaines tribunes comme “Trans : suffit-il de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considéré comme telle ?” sur Marianne.

J’ai aussi pris connaissance du harcèlement et de la censure que subissaient d’autres femmes autour du monde qui disaient une chose pourtant évidente : une femme est une femelle adulte humaine.

J’ai commencé à comprendre les enjeux du sujet, à comprendre qu’il y avait dans l’idéologie transgenre une volonté d’abolir la notion de sexe au profit du concept de genre et à comprendre que des lois qui pénaliseraient les femmes et les enfants étaient en train de passer sans que personne ne daigne s’y intéresser.

En 2021, au moment ou la loi interdisant les thérapies de conversion LGBT étaient en train d’être votée en France, j’ai eu vent du fait que certains députés et sénateurs avaient rajouté la notion d’identité de genre dans le texte de loi. J’ai décidé d’en parler à Marlène Schiappa qui m’a reçu.

Avec la militante Anissia-Docaigne-Makhroff, nous avons interpellé les sénateurs et nous avons invité nos communautés à faire de même, pour les inciter à réfléchir et à clarifier la notion d’identité de genre, en leur expliquant pourquoi cette notion mettait à mal l’effectivité de ce texte. Nous leur avons écrit : “Je soutiens fermement la proposition de loi visant à interdire les thérapies de conversion de l’orientation sexuelle d’une personne, mais je pense que l’ajout de la mention d’identité de genre met à mal l’effectivité de ce texte. Voici les problèmes que pose la mention d’identité de genre dans le texte de loi :”
Vous pouvez lire la suite du texte ici.

S’en est suivie une énorme campagne de diffamation à mon égard lancée par “Le coin des LGBT” et “Agressively Trans”, m’accusant de vouloir la torture et la mort des personnes trans, jouant sur le fait que la plupart des gens n’iront jamais lire le texte que j’ai envoyé aux sénateurs et ne comprendront donc jamais la nuance de son contenu.

Campagne de diffamation du coin des LGBT et de Agressively Trans

Depuis, je parle de temps en temps des problématiques que posent l’idéologie transgenre dans les rares médias en France qui veulent bien en entendre parler.

Nous avons co-signé avec Marguerite Stern une tribune au sujet de ‘l’homme enceint” de la campagne de communication du planning familial. Nous avons été reçues par certaines députées comme Aurore Bergé, Caroline Yadan et Astrid Panosyan Bouvet, ce qui n’a fait évidemment qu’accentuer notre harcèlement. Certains médias en ont profité pour écrire des articles à buzz tout à fait fallacieux à notre sujet, auxquels nous avons dû envoyer des droits de réponses.

Pour résumer :

  • On me reproche tout simplement de dire qu’être une femme est une réalité matérielle et biologique et non pas un ressenti que tout homme peut s’approprier.

  • On me reproche de ne pas baisser la tête et de refuser d’utiliser les termes “personnes menstruée” ou “personnes à vulve”.

  • On me reproche de faire des recherches sur le sujet, et d’en informer les autres.

  • On me reproche de m’intéresser aux financements de cette idéologie.

  • On me reproche de parler de la misogynie de cette idéologie.

Je n’ai jamais insulté ni harcelé de personnes trans.
Je n’ai jamais appelé à la haine.
J’ai par contre mis en évidence le harcèlement que me font subir certains et je continuerais à le faire.

J’ai expliqué à plusieurs reprises l’origine de mon harcèlement et de la diffamation à mon égard sur mon compte @tasjoui à travers des posts afin d’en informer ma communauté.

Vous pouvez lire ça là:
Post 1
Post 2
et ici.


coups de couteaux, trahisons et comportements moutonniers

J'ai reçu de très nombreux coups de couteaux dans le dos de la part de certaines personnes à qui j’ai tendu la main. J’ai contribué à inventer et à populariser un style de contenu militant féministe sur Instagram à une époque ou personne en France n’utilisait la plateforme de la sorte.

Le succès de mon compte a fait éclore tout un tas de nouveaux comptes dans cette mouvance du militantisme féministe Instagram et j’ai offert gracieusement de la visibilité à de nombreuses femmes qui voulaient se lancer.

Certaines de ces mêmes personnes qui m’ont utilisé comme tremplin, m’ont ensuite traité de transphobe à la première occasion, quand ce fut devenu la mode de me cracher dessus, sans même tenter de réfléchir au fond du sujet, sans doute par conformisme et adhésion à la woke culture et à son système de cancel-culture. D’autres ne sont pas prononcés publiquement, mais m’ont discrètement virés de comptes what’s app où la communauté sexo Instagram échangeait.

C’est comme si il y avait une certaine vertu ostentatoire à me dégager, à me dénoncer, à me diaboliser, à me déshumaniser, comme si cela les mettaient soudainement du “bon coté de l’Histoire” et qu’elles et ils pouvaient s’en vanter. La logique est la suivante : par peur d’être soupçonnée d’être une “TERF” et d’en subir les conséquences, il vaut mieux en dénoncer une, afin de s’acheter une tranquillité.

Incroyable de fourberie, mais pourtant vrai, j’ai par exemple écrit gracieusement la préface du livre de Amal Tahir du compte “Inside Women” quand elle me l’a demandé. Quand le vent a tourné, sans même discuter du sujet avec moi, elle a fait une story me traitant de transphobe, invitant en commentaire à aller voir “la story permanente de Agressively Trans”. J’ai du appeler son éditrice d’urgence pour exiger de faire retirer la préface de son livre à venir.

Story et commentaire diffamant de Amal Tahir de “Inside women”

Email envoyé à l’éditrice de Amal Tahir pour retirer ma préface de son livre


J’ai aussi gracieusement aidé Elvire Duvelle-Charles du compte Instagram “Clit Révolution” a atteindre les 100 000 followers en invitant régulièrement les miens à aller la suivre. Elle avait besoin de ce niveau d’audience pour que des producteurs veuillent bien produire sa série documentaire. Celle qui m’a bien utilisé lorsqu’elle en avait besoin, diffame désormais impunément sur moi. Dans son livre sur le féminisme et les réseaux sociaux, elle écrit que j’ai “des prises de positions extrêmement violentes à l’égard des personnes transgenres”.

Ce genre d’exemples, j’en ai des dizaines.


Un phénomène de déshumanisation et d’invisibilisation

La diffamation à mon égard et la malveillance est véritablement devenu hors sol. On me traite de transphobe, d’anti-trans, d’islamophobe, d’antisémite (lorsque je suis moi même juive), de validiste, de grossophobe, de complotiste, de fasciste d’extrême droite, d’anti-avortement, et que sais-je encore. C’est un véritable concours.

Diffamations

On dit de moi que je suis dangereuse, que je suis “pleine de haine”, que je suis responsable de la mort de personnes trans.

Voir dans les techniques de harcèlement la partie 8 : Les accusations de violences

Il me semble qu’il y a ici un véritable phénomène d’inversion.
Des personnes m’insultent sans arrêt en ligne et souhaitent ma mort ou mon suicide.

Insultes et menaces

Les harceleurs contactent les marques avec qui je travaille dans le but de faire annuler tous mes partenariats et obtiennent parfois que celles-ci me “cancel” publiquement, comme ce fut le cas de la marque “Passage du désir” qui en profita pour faire son buzz sur moi et montrer patte blanche vis à vis des transgenristes.

Passage du Désir cède à la pression des harceleurs

Les harceleurs contactent aussi les plateformes où je reçois des dons pour mon travail militant.

Ils cherchent à me déstabiliser financièrement.

Ils vont dans les librairies pour coller des étiquettes “transphobe” sur mes livres et échangent avec les libraires dans le but de faire en sorte que mes livres ne soient plus mis en avant ni stockés.

Étiquettes “transphobe” collées sur mes livres par “Collages Féminicides Chambery” et incitation à vandalisation de mes livres dans les librairies

Voir la page qui détaille les différentes techniques de harcèlements.

La cancel culture fonctionne à merveille et la peur s’installe.

Soudainement, des articles qui parlent des comptes instagram sexo-militants ne me mentionnent plus. Je ne suis plus invitée à des festivals féministes. La même presse de gauche qui célébrait le travail effectué sur @tasjoui pour la cause des femmes, ne parle plus que de moi pour me diffamer et tente de me faire passer pour une fasciste.

Le but de ce harcèlement est de me déshumaniser totalement et surtout de dissuader toute femme de s’exprimer sur ce sujet. De faire comprendre aux femmes que parler publiquement de ce sujet comporte un tel risque qu’elles feraient mieux de se taire.

Comme disait le philosophe Bertrand Russel: “La peur collective favorise l'instinct grégaire et la cruauté envers ceux qui n'appartiennent pas au troupeau.”


Face à ce harcèlement, vous pouvez me soutenir avec des dons sur ma page Tipee.
Merci d’avance.

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Dora Moutot

Dora Moutot est co-fondatrice de Femelliste. Vous pouvez soutenir son travail sur Tipee.

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